Every has a story
Si comme moi, vous aimez la Stan Smith.
Racontez moi, pourquoi ?
La Stan Smith et vous ? Vos anecdoctes ? Vos histoires ?
Si comme moi, vous aimez la Stan Smith.
Racontez moi, pourquoi ?
La Stan Smith et vous ? Vos anecdoctes ? Vos histoires ?
Adidas
gathered some of the best graffiti artists in the world to work together on a
totally original concept : a unique collection of footwear, apparel and
accessories that takes artwork from the sketchbook to the streets: the End to
End project. In the 1960s, teenagers began writing their names all over New
York.
They were soon writing nicknames and pseudonyms as they discovered the
consequences of their actions. As outside spaces and subway carriages began to
fill up with their markings, the writers' developed individual styles to make
their artwork and names standout. Gradually the transit system became a
travelling canvas for all to see. From these beginnings, graffiti now exists in
pockets of culture all over the globe. The End to End project found writers
with a genuine approach to their work; artists embedded in the subculture, with
experience and creative talent. The seven chosen artists worked in a
custom-built environment to create an exclusive range of products. The End to
End collection combines their creativity, innovation and style without
compromising their credibility. The adidas Stan Smith Scien is a great
representation of this innovative collection. Its artist, working alongside his
wife Klor, is French-born, Scien. Well-known for his crisp outlines and clean
detailing, his repertoire now extends far beyond purely painting graffiti. The
adidas Stan Smith Scien is a street-inspired casual shoe with an embossed
leather upper, lace jewel, printed sockliner and rubber outsole with printed
graphics. The adidas Stan Smith Rime is a great representation of this
innovative collection. Known for continually pushing the limitations of
lettering, Graffiti Artist Rime's pieces are a combination of vivid colors,
cartoon style outlines and bold tags. As one of the most respected writers
working in the US, his graffiti artwork has influenced many other artists both
within and outside the graffiti world. The adidas Stan Smith Rime features a
printed leather upper, printed insoles, lace jewel and a translucent rubber
outsole with printed graphics.
Ce printemps, Adidas a présenté le PROJECT END-TO-END. Sept des meilleurs graffeurs internationaux ont été choisis pour travailler sur une collection de chaussures mettant en avant leur propre style et ce en trois jours.
Atom & Can2 (Adidas End-To-End Project)
Trois jours, jour et nuit, dans un environnement spécialement conçu pour eux, un grand entrepôt complètement réagencé et spécialement aménagé dans le quartier branché de Spitalfields à Londres.
Rime (Adidas End-To-End Project)
Ces Stan Smith revisitées par Scien, Skore, Smart, Rime, Can2 & Atom, Siloette, seront disponibles chez Foot Locker.
Smart (Adidas End-To-End Project)
envoyé par PeteRock
" Experience tells you what to do; confidence allows you to do it. "
" When you walk on a court, clear your mind of everything unrelated to the goal of playing the match as well as you can."
Tennis . Jeu stéréotypé, prépondérance de la force, les clichés du jeu décortiqués par un théoricien de la raquette à l’occasion de l’US Open à New York
Auteur de Quel tennis pour le XXIe siècle (1), Didier Masson est aussi enseignant dans l’Eure. Opposant au président actuel de la Fédération française de tennis, Christian Bîmes, il s’était présenté lors des dernières élections fédérales sur une liste adverse emmenée par Yannick Noah et Patrick Proisy. À l’occasion de l’US Open à New York, il nous livre l’oeil du technicien sur le tennis actuel.
Mise en jambes. « Si l’on regarde les joueurs des années 70-80, Stan Smith ou Ilie Nastase, leur jambe arrière avançait toujours vers l’avant, c’est ce qui provoquait la montée au filet. Aujourd’hui, cette jambe ne bouge plus, les joueurs mettent une pêche au service et ne vont plus vers l’avant. Pourtant, le but du tennis, c’est d’avancer dans le terrain. John Mc Enroe ne reculait pas. Il était constamment à l’intérieur du terrain. Ce n’est pas un hasard si lorsqu’on joue petit bras, on a toujours une jambe qui traîne derrière. »
Y a-t-il un joueur parfait ? « Parmi les meilleurs joueurs actuels, l’Argentin David Nalbandian a une très bonne assise au sol, ce qui l’aide à avoir une traversée de la balle beaucoup plus longue. Le Russe Davydenko s’appuie sur une rotation des épaules ultrarapide, c’est ce qui fait sa force. Pour ce qui est de Roger Federer, le numéro 1 mondial, il n’est pas parfait techniquement. Il pourrait être encore meilleur. Par exemple, il ne termine pas son geste en coup droit, il ne l’accompagne pas jusqu’au bout. »
L’enclume et le marteau. « Grosso modo, les raquettes modernes pèsent aujourd’hui 300 grammes contre 400 grammes avant qu’on ne passe aux matériaux composites. Cette différence de 100 grammes explique beaucoup de choses dans le tennis actuel, par exemple le fait que les joueurs ont besoin de beaucoup plus d’échanges pour rentrer "dans le lard" du joueur adverse. En fait, c’est comme lorsque vous prenez un marteau et que vous voulez enfoncer un clou, si l’engin est trop léger, vous allez mettre beaucoup plus de temps à l’enfoncer. »
Jeu de main, jeu de vilain. « Le grand tamis explique la prépondérance des coups joués à deux mains aujourd’hui chez les joueurs du circuit. Là encore, tout est lié à l’histoire des matériaux utilisés. Comme les raquettes en bois cassaient souvent au niveau de leur coeur, les constructeurs qui sont passés aux matériaux composites ont voulu construire un coeur de raquette très costaud, ils ont donc écarté les branches de la raquette au maximum. Mécaniquement, cette raquette à plus grand tamis a entraîné un blocage de l’épaule. Du coup, les gamins qui se sentaient moins à l’aise se sont emparés de la raquette à deux mains. »
T’avances ou tu recules ?
« Globalement, les juniors français n’avancent pas dans le terrain, ils
ne jouent que du fond du court. Gaël Monfils, qui est pourtant un des
meilleurs seniors français, est sur le même modèle. Tous ces joueurs
illustrent bien la tendance initiée par des enseignants et des
dirigeants qui ont pris le pouvoir en France il y a quarante ans et qui
ne veulent plus le lâcher. C’est la querelle des anciens et des
modernes, les anciens prônaient la ligne droite, le plus court chemin
vers la réussite. Il faudrait y revenir dans le tennis d’aujourd’hui.
En France comme dans pas mal de pays, on n’apprend pas aux jeunes à
jouer relâché, il faut que ça frappe fort tout de suite. On ne fait pas
de la qualité, on fait de la masse, on fait du taylorisme, du chiffre
au lieu de travailler sur la qualité. Or le tennis, c’est un jeu de
délié où tout part des hanches. Ces dernières années, on a "bousillé"
un nombre incroyable de gamins au jeu très fin en les faisant à tout
prix jouer en force. »
Frédéric Sugnot
paru le 1er septembre 2006 l'Humanité
(1) Didier Masson est également l’auteur de Pour un meilleur tennis, Éditions Chiron, 2004.
Pourquoi Cristal ????
Je vous le donne en mille !
Toujours tendance la Stan Smith, elle succombe à la mode Svarovski.
Des cristaux Svarovski sont insérés dans son logo ADIDAS. Ils brillent et son beau cuir blanc rayonne.
Ce modèle est limité à 1 000 pièces à travers le monde.
Je dois avouer que ça ne me déplaît pas d’être sur mon canapé, stores
descendus, à regarder dans la fraîcheur relative d’une pénombre
dominicale deux bêtes types se renvoyer des balles jaunes sous un
soleil de plomb.
- J'en veux pas de ta balle, tiens, reprends-la !
- Mais toi-même-eu !
Mais hier, que ce fut dur !
La veille déjà, la finale féminine m’avait conduit au bord du suicide,
mais ayant heureusement sous la main un disque de Ray Barretto j’avais
pu lancer une contre-attaque victorieuse pour me détourner de ce non
spectacle tennistique qui ressemblait finalement beaucoup trop à une
chanson de Vincent Delerm, lent et chiant, mais heureusement pas très
long.
À propos de tennis féminin, quand je vois la majorité des joueuses, je
me demande si c’est parce qu’elles sont moches qu’elles jouent au
tennis ou si c’est le fait de ne vivre que par et pour le tennis qui
les rend moches ! Oui, je sais qu’il y a des exceptions, surtout dans
le pays de l’est.
Est-ce que là-bas les jolies filles n’ont pas honte de faire du sport.
Ou alors est-ce qu’en occident, les moches s’ennuient et font donc du
sport tandis que les mignonnes s’amusent, batifolent et font du
shopping (puisqu’apparemment le shopping est devenu un loisir !)...
Je me demande...
Par contre, dimanche matin, en émergeant mollement de ma grasse
matinée, j’avais décidé d’attaquer la journée et le plongeon dans le
café au lait de mes tartines ceriso-confiturées, conforté dans ce calme
ambiant par l’écoute jouissive et paresseuse du disque de Vassili
Tsabropoulos, Achirana, suivi d’Hyperborean d’Arild Andersen... Ce qui
nous emmena tant bien que bien jusqu’au repas de midi (on devrait
pouvoir écrire repas méridional, en dehors de toute orientation
gastronomico-régionale, mais on ne le peut pas, pour une fois, la
langue française est mal faite !) salade de crudités, cubes de féta,
thon, oeuf dur et olives noires, accompagnée d’un Saint Pourçain juste
à la bonne température... Le pied. Tranquille. Cool Raoul.
J’aurais dû me “mésinfier de la bourbille” comme faisait dire le
plus-que-douteux A.D.G. à son personnage de privé calamiteux Alfred
Beaugât dans les Pilote de ma jeunesse... Hélas, pour persévérer dans
la veine de ce qu’on appelle du jazz parce qu’on ne sait pas où le
ranger, j’enchaînais avec Chants, hymns and dances, musiques de
Gurdjieff et Tsabropoulos (deux fois nommé) pour attendre décontracté,
le choc des titans sur terre battue.
J’aurais pas dû.
Était-ce cette ambiance musicale tellement propice à la sieste
(crapuleuse ou non) ou la douce torpeur que n’avaient pu dissiper les
deux tasses de café autant noir qu’équitable et encore moins la vision
tournicotante d’Alonzo entr'aperçu s’obstinant à rouler sous le soleil
sans autre but que celui mesquin d’arriver premier une fois encore...
Quoi que ce fut, la finale s’est annoncée dans un climat pas mal
ramollo. Du coup, le choc attendu, espéré, escompté, voire redouté par
certains, n’a même pas eu lieu. On pouvait bien s’amuser à jouer au jeu
des sept zerreurs entre les tenues des deux joueurs, mais ça n’allait
pas nous occuper tout l’après-midi !
Médusés. C’est ce que disait le commentateur : le public est médusé. Tu l’as dit bouffi !
C’est vrai en plus qu’il est un peu bouffi, Lionel Chamoulaud. Rien que
son nom, déjà, ça n’évoque pas vraiment l’enthousiasme et le combat à
couteaux tirés sauf pour couper des chamallows...
Bref, comme aurait-dit Passepartout faisant des ménages dans les
couloirs de Roland (vous avez remarqué, on ne dit que Roland, on ne dit
plus Garros ! Ça fait trop portos ou quoi ?) bref, le match a tourné
court ! Et ce numéro un dont on attendait des merveilles nous a bien
fait lanterner, ce qui en fait n’est pas étonnant pour un garçon venant
d’Helvétie...
On aurait bien aimé lui botter le cul, lui dire mais bats-toi, bon sang
de bonsoir, réagis, quoi ! Mais non ! Alors qu’on espérait se régaler
avec un bon plat de résistance, on n’a eu que du petit suisse !
En plus, à la fin, confronté aux questions de l’interviewer fou
pédalant en l'occurrence dans le fromage comme un hamster dans sa roue,
ce toujours brave garçon, l’amorphe au nez baissé, nous gratifia d’un
commentaire bon enfant du genre je suis allé plus loin que l’année
dernière et j’espère faire mieux la prochaine fois...
Trop ramollis pour shooter dans la télé, on s’est retrouvés le bec dans
l’eau, un peu déçus, un peu largués aussi, l’impression d’avoir manqué
quelque chose. T’es sûr que t’étais sur la bonne chaîne ? Ben,
maintenant que tu le dis... Un faux-match, une contrefaçon peut-être,
comme si au beau milieu d’une légende celtique, au lieu de joyeux
lutins on s’était fait refiler des grolles et des cardigans...
Cherchez l’erreur.
écrit par: Dilettante
Stan Smith aux pieds le regard froid
Chemise ouverte, chaîne en or qui brille
Je danse le mia (merci I AM)
Bien avant Vincent Delerm !
Et Avant Faf La Rage :
Ta meuf, c'est une caille, mec, elle est grave, mec
Mais sérieux, tout l'monde en a marre, mec
Elle se comporte comme le pire des mecs
Elle sla pète, elle met des coups dtête et des balayettes
En Stan Smith et 501 serré
Elle traîne la jambe, façon Kaiser Sauzé (t'es fou !)
La Stan Smith, pour les plus jeunes c’est une paire de tennis au
design simple mais au look très branché, les plus anciens et les fans de tennis
vous diront que c’est l’un des plus grands joueurs que le circuit ATP ait
connu.
Mais ses véritables fans vous expliqueront que c'est la première chaussure technique mise au point par ADIDAS.
Durant les années 60, le tennis est encore un sport amateur. Cependant Horst Dassler, le patron d’Adidas, voit déjà en ce sport des potentialités de développement à l’échelle mondiale.
En observant les joueurs, il décide de lancer une paire de tennis conçue
spécialement pour ce sport. Cette chaussure est fabriquée dès 1963 à
Landersheim, petit village de l’Est de la France.
Le produit est commercialisé à partir de
1965 sous le nom de Adidas Robert HAILLET (né le 26-9-31, 1m82 pour 76kg droitier, demi-finaliste en 1960 à Roland-Garros, vainqueur de Monte Carlo en 1958
et 1959). C’est le nom d’un grand joueur
français de l’époque qui deviendra ensuite capitaine de l’équipe de France de coupe
Davis. La première version de cette chaussure présente déjà une
multitude d’innovations pour l’époque : la semelle est
efficace sur tous les revêtements, le cuir est aéré, la
chaussure est cousue dans la semelle pour plus de solidité.
En 1967, l’apparition d’un dispositif de couleur verte à l’arrière de la
chaussure lui offre une identité visuelle indélébile. Il
s’agit en réalité du premier système de protection du tendon
d’Achille dans une chaussure de tennis.
En 1973 , c'est le début de la légende, Stanley Smith signe un contrat avec Adidas. La marque aux trois bandes devient l’équipementier officiel du champion. Cependant, c’est en 1978 que Stan Smith entre définitivement dans la légende. L’Adidas Robert Haillet est rebaptisée Adidas Stan Smith et devient le plus gros best seller de l’histoire du sportwear. Même après sa carrière Stan Smith continuera la promotion de cette paire de tennis en remportant de nombreux tournois sur le circuit senior (Wimbledon 1984 et 1985, US Open 1984).
Si lors de son lancement cette chaussure s’est démarquée par sa technicité, c’est plus grâce à la mode qu’elle est devenue culte. La Stan Smith a en effet été adoptée par le sportwear pour devenir dans les années 70 la première paire de tennis portée avec un jean. Le milieu des années 80 et l’avènement de la mode Rap et sports urbains offriront une deuxième vie à la Stan Smith qui deviendra la chaussure branchée de référence pour beaucoup de jeunes. Adidas réagira au quart de tour en déclinant le produit sous différentes couleurs et matières plus proches des tendances actuelles. Le résultat est sans précédent. En 1994, Adidas atteint la barre des 23,7 millions de paires vendues depuis le lancement. L’Adidas Stan Smith a-t-elle éclipsé le champion ou au contraire l’a-t-elle fait connaître dans le monde entier ? Ce qui est certain, c’est qu’elle reste la paire de tennis de plusieurs générations.
Stan Smith, autrefois innovantes. Aujourd'hui classiques. Toujours authentiques.
n°38 The Stan Smith-Ilie
Nastase Wimbledon final
A classic five-setter
between men of contrasting styles and bearing. Nastase appeared to have the
upper hand in the fifth set but lost it 7-5. 'I really thought there was
something else in my corner during that set,' Smith said. 'I couldn't go to
church today. But I shall be there next Sunday as usual.'
Sue
Barker has seen many of Wimbledon's finest moments as a player and BBC
presenter.
Here she looks back at
the epic encounter between Stan Smith and Ilie Nastase in the 1972 men's
singles final.
Certain names are
inextricably bound together in the history of Wimbledon, and those of Stan
Smith and Ilie Nastase are destined to always be mentioned in the same breath,
The reason? Their truly
epic encounter in the 1972 men's singles final, in which Smith eventually
triumphed 4-6, 6-3, 6-3, 4-6, 7-5.
Widely regarded as one of
the greatest-ever Wimbledon finals, it was a match which enthralled both the
Centre Court crowd and the millions watching around the world.
The two men were such
opposites: Smith, the popular, unflappable all-American sporting hero; Nastase,
the volatile Romanian showman whose antics often divided tennis fans. My most
vivid memory of the final is Nastase's racquet problems. The strings, the
tension, the grip - nothing was right, and it cost him the title.
His title ensured Smith's
status as an American national hero, as well as the world's No. 1 player, while
Nastase would never have a better chance of winning Wimbledon.
Smith again beat Nastase
when it mattered most later that year on clay in Bucharest to launch the United
States towards victory in the final of the Davis Cup.
But the match between the pair that will always be remembered is that Wimbledon final.
Pour venir en aide aux sinistrés de la Nouvelle Orléans, une vente aux enchères sur e-bay a été organisé.
Les "kicks head" ne pourront pas résister à la paire de Stan Smith, customisée pour l'occasion par Dassler Rebellion.
Ce modèle unique (pointure 11 US ou 45 FR), s'est mis aux couleurs des figures mythiques de la localité:
Monsieur Louis Armstrong
et l'équipe de football américain des Saints.
Mes ADIDAS by RUN DMC (album Raising Hell 1986)
Mes Adidas en ont passé des portes de salles de concert
Et ont foulé le sol de pas mal de colisées
Je suis monté sur scène au Live Aid (1)
Tout le monde avait donné et ça revient aux pauvres
Et dans les haut-parleurs j'ai dit
Je porte mes baskets, mais je ne suis pas un faux-cul
Mes Adidas ont foulé la terre de pays étrangers
Le micro à la main je pouvais passer commande
Mes Adidas et moi, le plus proche possible,
On forme une super équipe, mes Adidas et moi
On fait notre chemin ensemble, maintenant et pour toujours
Et on ne deviendra pas malade quand on sera surpris par le mauvais temps
Mes Adidas. .
Mes Adidas. .
Mes Adidas.
Sur la cinquième rue
Il fait drolement froid et ouais j'ai froid aux pieds
Parce que je leur ai enlevé les lacets, je ne les ai pas gagnées
Je les ai achetées assorties avec un jean noir Lee
J'adore les porter c'est pourquoi je les ai achetées
Un bouffon a bien essayé de me les piquer alors je les ai rattrapées et je les ai récupérées
Puis je me suis promené dans la rue et je dansais sur le rythme
Avec mon jean Lee et mes Adidas aux pieds
Et maintenant je suis ici shooting the gip (2)
Moi et D (3) et mes Adidas on est sur la cinquième
Mes Adidas. .
Mes Adidas. .
Mes Adidas.
Bref
Mes Adidas et moi on fait les trucs les plus fous
On aime appâter les proxènetes avec des bijoux
On tue tous les bouffons qui s'approchent
Et on impose notre loi d'états en états
On voyage sur les graviers, sur les routes terreuses ou dans la rue
Je porte mes Adidas quand je rappe
Sur scène, à la première page de chaque spectacle où je vais
C'est Adidas à mes pieds hautes ou basses
Mes Adidas. .
Mes Adidas. .
Mes Adidas.
Bref
qu'un seul homme possède autant d'Adidas c'est rare
Moi même j'en ai 50 paires
Des bleues et noires car j'aime être à l'aise
Et des jaunes et vertes quand c'est le moment de faire le dingue
J'ai une paire que je porte quand je joue au basket
Elles me rendent plus grand
Mes Adidas ne m'apportent que des bonnes nouvelles
Et elles ne sont pas usées comme les chaussures bas de gamme
Elles sont noires et blanches, blanches avec des lignes noires
Celles que j'aime porter quand je rappe
Avec la force d'une de nos célèbres universités
On prend le rythme qui vient de la rue et on le met à la télé
Mes Adidas on les voit sur les écrans de ciné
Hollywood sait qu'on est bons si tu vois ce que je veux dire
On a commencé dans les rues, maintenant on se la coule douce en Californie
Et je ne les échangerais pas contre un jeu vidéo
Mes Adidas. .
Mes Adidas.
(1) grand concert au profit de la lutte contre le Sida
(2) HELP je connais pas cette expression
(3) D désigne Darryl McDaniel (DMC ça y'est vous faites le lien... . héhé)
http://www.videocaffe.com/video/Zs1bmpRzF8E/Just-For-Kicks-Exclusive-Clips---Run-DMC-My-ADIDAS-Story
Stan Smith , né à Pasadena (Californie) en décembre 1946, |
fut un des meilleurs joueurs du monde de tennis dans la première moitié des années 1970. N°1 mondial de fin 1971 à mi-1973, vainqueur de deux tournois du grand chelem (US Open 1971 et Wimbledon 1972), il fut aussi un grand joueur de coupe Davis, contribuant à sept reprises à la victoire de l'équipe des États-Unis dans l'épreuve, notamment lors de la finale jouée (et gagnée à lui seul) contre les Roumains à Bucarest en octobre 1972. Cette même année, il remporte Wimbledon après avoir battu Ilie Năstase. |
Smith a joué au tennis universitaire à l'université de la Californie du
Sud, où il était trois fois All-American (meilleur joueur américain)
et a remporté le championnat simple NCAA en 1968 et les titres doubles en
1967 et 1968.
Après sa carrière de joueur, Smith est devenu entraîneur de l'United
States Tennis Association.
Aujourd'hui, Stan Smith vit sur l'île de Hilton Head, Caroline du Sud,
avec son épouse et ses 4 enfants, tous ayant continué le tennis
universitaire.
Dans son autobiographie de 1979, Jack Kramer, l'instigateur à long terme
de tennis et le grand joueur lui-même, range Smith en tant qu'un des 21
meilleurs joueurs de tous les temps.
En 2005, les journalistes américains de Tennis Magazine ont élu
Stan Smith au 35e rang des "quarante plus grands champions
de tennis de ces quarante dernières années".
fr.wikipedia.org
Familière du bitume plus que du
stade, la semelle tout-terrain retrouve la ligne épurée des premiers
modèles créés pour les grandes
heures du sport.
En 2003, quatre-vingts millions
de paires de baskets se sont vendues en France, plus grande
consommatrice européenne après
la Grande-Bretagne. Loin de s'essouffler, ce marché ne cesse de se
développer. Si les modèles de
sport représentent 38 % de la consommation de chaussure masculine,
40 % d'entre eux sont destinés
au bitume et non pas aux courts de tennis ou aux pistes de jogging.
D'où la logique des marques qui
répondent aux envies de la jeunesse urbaine branchée et
s'engouffrent toujours plus
avant dans le créneau de la mode. Comme celle des griffes de luxe qui
suivent le mouvement et
produisent des chaussures de sport en bousculant l'ordre établi.
Au-delà des prouesses
technologiques en tout genre et d'une course incessante aux brevets et aux
nouveautés, une vague rétro
s'est installée, qui fait référence aux premiers temps du sport. Les
marques renouent avec leurs
racines et se réconcilient un peu plus avec leur héritage. Ainsi, la «
Waffle Racer II », lancée par
Nike comme star de l'été 2004, est inspirée d'un modèle conçu en
1971. La marque Adidas propose
elle aussi toute une série de modèles vintage. La « Ali
boxing boot
», portée à l'origine par
Muhammad Ali lors de son combat historique contre Joe Frazier, la « Japan
», introduite en 1962, ou la
célébrissime « Nastase » sont rééditées.
Une tendance à la nostalgie
plus forte que jamais à quelques mois des Jeux olympiques d'Athènes,
qui se retrouvent au centre de
tous les discours marketing. De la chaussure dessinée spécialement pour
l'escrime à celle créée pour
les Jeux de Melbourne en 1956, les JO sont pour Adidas, qui supporte
les athlètes depuis 1928,
l'occasion d'imaginer une collection de modèles inspirés des grandes heures
du sport. A l'époque de la
performance à tout prix, les marques misent sur les valeurs traditionnelles
du sport, les beaux exploits de
l'histoire olympique, et tout simplement la passion de jouer.
Si le « swoosh » (la fameuse
virgule) est encore le logo le plus visible sur les pieds urbains - Nike
reste le numéro un du secteur-,
les trois bandes d'Adidas ou le félin de Puma se multiplient. Le
bénéfice net d'Adidas, numéro
deux, est en hausse de 14 % par rapport à 2002, tandis que celui de
Puma a plus que doublé, avec
une hausse de 111,3 % sur un an.
Puma, en étant le partenaire officiel
de l'équipe jamaïcaine à Athènes, joue la carte de la sympathie
et de la proximité. Une
communication basée sur des valeurs universelles, qui n'empêche cependant
pas une féroce guerre des prix,
et sert même de base à des séries limitées très élitistes. Ainsi, Puma
lance des « Commemorative
Series 2004 », à partir de chaussures de sport des années 1960, et
limite sa production à travers
le monde à 2004 paires, pour chacun des quatre modèles de la
collection.
Il n'en fallait pas plus pour
que les différentes marques du luxe se mettent à réaliser des baskets
cousues sellier. Comme Dolce
& Gabbana et sa série de chaussures aux couleurs des drapeaux
italien, français ou espagnol.
Comme Louis Vuitton, qui décline sa toile Monogram multicolore -
jusqu'ici réservé aux femmes -
sur un modèle de football pour homme. Ou comme Giorgio Armani et
sa paire de baskets en
anaconda.
Et les créateurs n'hésitent pas
à s'inviter chez les équipementiers pour imaginer des modèles
hautement fashion tout en
profitant de leur savoir-faire. Après le grand succès de Y-3, la ligne
d'Adidas créée par Yohji
Yamamoto, Prada imagine avec la marque Car Shoe une série de
chaussures de différentes
couleurs, à la semelle piquée de picots. Jean-Charles de Castelbajac
conçoit des modèles pour Le Coq
sportif, et Puma collabore pour la deuxième année avec le créateur
hollandais Alexander Van Slobbe
pour le développement de chaussures qui associent coloris vibrants
et matériaux légers, mode et héritage, avec les détails d'une chaussure de 1959.
Karine Porret
Le Monde Spécial, mercredi 17 mars 2004, p. 14